Toutes les critiques de Le Marquis

Les critiques de Première

  1. Première
    par Stéphanie Lamôme

    Et c'est parti pour une comédie d'aventures "à la Veber", avec l'éternel clown blanc raleur-gros boulet content (...). On sait gré aux scénaristes de n'avoir pas gravé les personnages dans le marbre : l'abruti toujours de bonne humeur est moins con qu'au premier abord, le gangster taciturne va progressivement desserrer les mâchoires et le méchant tueur est un homme amoureux qui ne fait finalement pas peu. Certains running gags ont même du potentiel, mais ils sont tellement mal exploités qu'on est bien en peine de rire au-delà de la première intervention du personnage.

Les critiques de la Presse

  1. StudioCiné Live
    par Sandra Benedetti

    Une comédie aussi simple qu'efficace.

  2. Le Figaro
    par Anthony Palou

    Rebondissements, dialogues plus ou moins affûtés, on ne s'ennuie guère pendant 1 h 30, c'est déjà ça. Le scénario transparent pardonné, on passe un moment pas désagréable. Ne boudons pas.

  3. Télé 7 jours
    par Julien Barcilon

    ...malgré une impression de déjà-vu, on ne s'ennuie pas devant cette comédie héritière du cinéma populaire de Lautner.

  4. Télérama
    par Pierre Murat

    C'est tout sauf inventif, et même paresseux. [...] reste que Dominique Farrugia a un don précieux [...] il provoque mieux que le rire, la connivence du public.

  5. Nouvel Obs
    par Lucie Calet

    Thomas Gardesse (Franck Dubosc), VRP condamné à six mois de prison, achète sa tranquillité en se faisant passer pour Le Marquis, as du braquage dont nul ne connaît le visage. Quentin Tasseau (Richard Berry) le fait évader pour l’embarquer à Manille. Gardesse devra y élaborer un casse infaisable commandé par Jo (Jean-Hugues Anglade), truand qui ne plaisante pas. Dominique Farrugia marche sur les pas de Francis Veber : évasion par les airs comme dans « Tais-toi », tandem constitué d’un naïf (Dubosc) et de son tuteur (Berry) comme dans « la Chèvre », etc. Ici, pourtant, la sauce prend mal. Car le rythme pointe d’abord aux abonnés absents avant de se trouver à la toute fin du film.

  6. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    Si l’on aime la comédie bien carrée, on trouvera que cette histoire tourne rond. Les partisans de la nuance souffriront, eux, nettement plus, en particulier pour le personnage de Luisa Ranieri, épouse de Jean-hugues Anglade. Reste que ce dernier sauve le film