Toutes les critiques de Jewish Connection

Les critiques de Première

  1. Première
    par Alex Masson

    Si le monde des juifs religieux est savamment décrit, la mise en scène frappe par sa concision. Certes prévisible, Jewish Connection marque les débuts d'un réalisateur sous influence mais indéniablement doué.

Les critiques de la Presse

  1. Libération
    par Gilles Renault

    Le sujet donne un thriller plaisant, qui tient la distance, certes asser courtes, sans montrer de signes d'essouflement.

  2. Les Cahiers du cinéma
    par Florence Maillard

    Plus proche du roman d'apprentissage que du récit de mafia en toc qu'on aurait pu redouter Jewish Connection, même inégal, recèle de beaux moments qui conjurent le pittoresque et rendent justice à l'intérêt manifeste du réalisateur pour son personnage.

  3. StudioCiné Live
    par Emmanuel Cirodde

    Si le film ne dépasse pas vraiment la force de l'histoire vraie dont il s'inspire, il offre cependant quelques beaux moments, jouant sur une confusion spatiale et l'effacement des repères, conformes aux errements de Sam.

  4. Le Figaro
    par La Rédaction du Figaro

    Ce premier film confronte les principes religieux et la réalité criminelle. Du rythme de la maitrise.

  5. Le Monde
    par Jacques Mandelbaum

    Inspiré d'un fait divers datant de la fin des années 1990, ce film révèle un trafic de drogue insolite, commis par des dealers juifs ultra-orthodoxes new-yorkais, sous la houlette d'un trafiquant israélien. Construite autour du personnage d'un jeune hassidim (Jesse Eisenberg) qui cède aux sirènes de la délinquance et de l'argent facile, la mise en scène reste impuissante à sortir son sujet de l'exotisme.

  6. Fluctuat
    par Eric Vernay

    Jesse Eisenberg et Ari Graynor, à l’étroit, font tout l’interêt de Jewish Connection.

  7. A voir à lire
    par Marine Bénézech

    Un récit initiatique sur la recherche d’identité et la création de sa propre spiritualité qui aurait tout aussi bien pu s’appeler « le judaïsme expliqué à mon fils ». A découvrir.

  8. Chronic'art
    par Yal Sadat

    Les substituts hasardeux trouvés aux titres américains compliqués ont parfois le mérite de révéler les faiblesses de la marchandise réétiquetée. Dans le cas de "Jewish connection", la référence fumeuse au polar culte de Friedkin trahit la nécessité de prouver le potentiel dramatique d'un matériau fadasse de prime à bord.

  9. Nouvel Obs
    par Guillaume Loison

    A la fin des années 1990, des narcos de Brooklyn instrumentalisent des Loubavitch pour importer des pilules d’ecstasy en provenance d’Amsterdam. Avec une ironie féroce et un sens aigu de la parodie, cette fable sur la compromission, inspirée d’un fait-divers, titille les contradictions morales du communautarisme américain. La réussite du film doit beaucoup à Jesse Eisenberg, la révélation de "The Social Network", dans un rôle impayable de Tony Montana à papillotes. Regard électrifiant de détermination, frêle carcasse frissonnant de gaucherie post-adolescente : on tient là l’acteur le plus passionnant de sa génération.