Date de sortie 18 juillet 2010
Durée 130 mn
Réalisé par Cédric Klapisch
Avec Juliette Binoche , Fabrice Luchini , Romain Duris
Scénariste(s) Cédric Klapisch
Distributeur MARS DISTRIBUTION
Année de production 2008
Pays de production France
Genre Comédie dramatique
Couleur Couleur

Synopsis

Un Parisien malade se demande s'il va mourir. Son état lui donne un regard neuf et différent sur tous les gens qu'il croise. Le fait d'envisager la mort met soudainement en valeur sa vie, la vie des autres et celle de la ville entière. Des maraîchers, une boulangère, une assistante sociale, un danseur, un architecte, un SDF, un prof de fac, une mannequin, un clandestin camerounais... Tous ces gens, que tout oppose, se retrouvent réunis dans cette ville et dans ce film.

Toutes les séances de Paris

Critiques de Paris

  1. Première
    par Didier Roth-Bettoni

    Tous ces personnages, toutes ces histoires, tous ces décors, ajoutés les uns aux autres, forment la trame agréablement superficielle et la chair trop chastement effleurée du Paris d'aujourd'hui. C'est d'autant plus dommage que si le film ne s'était pas perdu dans la facilité séduisante de ses clichés multiples, il aurait pu s'arrêter sur son véritable sujet: le couple Romain Duris-Juliette Binoche, frère et soeur unis pour combattre la maladie du premier, qui regarde Paris comme si c'était la dernière fois...

  2. Première
    par Claire Fortier-Durand

    Paris est un point de convergences. C’est là qu’échouent les histoires d’amour, les immigrants et les malades du cœur. Klapisch suit les aventures de quelques personnages qui vivent, aiment et souffrent dans la capitale. Le problème, c’est qu’en multipliant les personnages, on est finalement touché par personne. Dommage, car avec un casting aussi lourd on ne demandait qu’à être convaincu. Las, à la trappe, Karin Viard et François Cluzet ! Le réalisateur peine à rassembler toutes ces énergies et n’arrive en fin de compte, qu’à montrer la belle histoire de Romain Duris, son alter ego. Si les beaux moments ne sont pas en manque, le spectateur reste frustré.