Toutes les critiques de Fast & Furious 5

Les critiques de la Presse

  1. L'Express
    par Julien Welter

    Courses-poursuites, plan de génie et coups de théâtre sont au menu de ce film d'action qui froisse plus de tôles que de neurones.

  2. Les Inrocks
    par Jacky Goldberg

    Ce cinquième opus apparaîtra volontiers comme un Heat en tongs, inconséquent mais très sympathique. (…) tout est ici prétexte à fusillades et courses-poursuites, et il faut reconnaître qu’elles sont plutôt réussies.

  3. Fluctuat
    par Jérôme Dittmar

    Faut-il croire que Fast and Furious, avec le temps, commencerait à devenir vraiment intéressant ? A voir ce cinquième épisode se la jouant nouveau western, la réponse est oui.

  4. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Le film ultime en matière de carambolages et de cascades à moteur. Tout simplement le meilleur segment de la série ! Allez-y, foncez !

  5. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Le cinquième épisode de la franchise se définit, comme les précédents, par un scénario squelettique: à Rio, les héros essaient de cambrioler un poste de police où se trouve l’argent d’un homme d’affaires véreux régnant sur les favelas. Les courses-poursuites en voiture aussi époustouflantes que démesurées sauvent la mise. A consommer sans cerveau, juste pour le fun

  6. Le Parisien
    par Alain Grasset

    Avec ce « Fast Five », les fans de la saga ne seront pas déçus. Des bolides, de l’action, des combats, du suspense, et une brochette de jolies filles : accrochez vos ceintures! (…) Plus proche d’un jeu vidéo que d’un film dont le scénario s’avère très, très léger .

  7. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Qui s'attend à approfondir sa philosophie de la vie en allant voir Fast and Furious se prépare à une forte déception. Les fous du volant appuient sur le champignon sans trop se poser de questions existentielles en un festival de poursuites fleurant bon l'asphalte et le cambouis.

  8. Le Monde
    par Jean-François Rauger

    Le film n'est pas dénué d'un charme pop qui émane de sa manière de tout réduire à une image en deux dimensions. Personnages et objets deviennent de purs logos univoques, dénués de toute épaisseur.