Depuis plusieurs mois, entre Gwyneth Paltrow et le magazine Vanity Fair, c'est la guerre.Un conflit qui a débuté au mois de mai 2013, lorsque le mensuel édité par Condé Nast a annoncé son intention de publier un portrait documenté de l'actrice de 41 ans. Une décision qui n'a pas du tout plu à la star, qui a manifestement des choses à cacher et qui voyait d'un très mauvais œil le fait qu'un journaliste vienne fouiller dans sa vie privée. Très remontée, Gwyneth Paltrow avait alors à l'époque ordonné à ses proches de ne répondre à aucune sollicitation de Vanity Fair, comme on peut le lire dans un mail groupé qu'un des destinataires a rendu public. "Vanity Fair me menace de faire sa couverture sur moi. Si on vous contacte à ce propos pour faire quelques commentaires, merci de décliner. Je vous recommande également de ne plus jamais parler à ce magazine", avait intimé l'actrice.Dans le dernier numéro de l'édition américaine de Vanity Fair, le rédacteur en chef Graydon Carter explique pourquoi il a finalement décidé de laisser le dossier consacré à Gwyneth Paltrow en stand-by et va jusqu'à la comparer au dictateur nord-coréen Kim Jong-Un ! S'exprimant pour la première fois sur cette affaire dans l'édito du magazine, il explique que le sujet qu'il avait commandé était un "papier mesuré et documenté sur le rapport passionné amour-haine que les gens ont pour Gwyneth Paltrow"."J'ai trouvé que l'article expliquait parfaitement ce phénomène" reprend-il en évoquant le papier soumis par la journaliste en charge du sujet. "Mais c'était à tellement d'années-lumière de la saga mythique que les lecteurs avaient fini par attendre - la grande manipulation, les révélations explosives - qu'ils auraient été déçus. Que faire alors ? J'ai décidé de laisser ce sujet de côté pour l'instant (...) Gwyneth Paltrow a demandé à ses très nombreux contacts dans le show-business de ne pas répondre à nos sollicitations. Jamais. Sous aucun prétexte. Kim Jong-un n'aurait pas pu avoir une requête plus étouffante".ET AUSSI :Gwyneth Paltrow : en guerre contre Vanity Fair !
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