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Comment The Raid 2 met K.O. la concurrence

The Raid 2 de Gareth Evans, la suite des aventures ultra-violentes de Rama, est dans les salles. Désormais flic infiltré, le héros du premier film doit faire face à des dangers de tous les instants. Plus longue (2h30) et plus aboutie que le précédent volet, cette suite place la barre très haut niveau action. Au point que certains n'hésitent pas à en parler comme du meilleur film d'action jamais réalisé.C'est donc l'occasion de le confronter à la concurrence. Il serait assez vain d'opposer <em>The Raid 2</em> à ses prédécesseurs asiatiques tant le metteur en scène ne cache pas son admiration pour ce cinéma, et ce qu'il lui doit. Mais sachant qu'il a pour projet de continuer son chemin à Hollywood, il est intéressant de voir à quel point les séquences clés de son film se hissent tranquillement au-dessus de la majorité de ce que l'Amérique a pu produire dans ce registre récemment.<strong>Attention, SPOILERS.</strong><strong>Yérim Sar</strong>Voir aussi : <strong>Gareth Evans : "Monter en intensité, c'est presque une question d'éthique"</strong>

The Raid 2 de Gareth Evans, la suite des aventures ultra-violentes de Rama, est dans les salles. Désormais flic infiltré, le héros du premier film doit faire face à des dangers de tous les instants. Plus longue (2h30) et plus aboutie que le précédent volet, cette suite place la barre très haut niveau action. Au point que certains n'hésitent pas à en parler comme du meilleur film d'action jamais réalisé.C'est donc l'occasion de le confronter à la concurrence. Il serait assez vain d'opposer The Raid 2 à ses prédécesseurs asiatiques tant le metteur en scène ne cache pas son admiration pour ce cinéma, et ce qu'il lui doit. Mais sachant qu'il a pour projet de continuer son chemin à Hollywood, il est intéressant de voir à quel point les séquences clés de son film se hissent tranquillement au-dessus de la majorité de ce que l'Amérique a pu produire dans ce registre récemment.Attention, SPOILERS.Yérim SarVoir aussi : Gareth Evans : "Monter en intensité, c'est presque une question d'éthique"